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Mon premier post en français

Bonjour à tous,

Ceux qui me connaisse un peu savent que j’aime écrire et certains m’ont déjà lu dans des chroniques d’un journal internet il y a de ça quelques années déjà.

Pourquoi un blog? Pourquoi majoritairement en Anglais?  Mais surtout pourquoi axé énormément sur le mindset?

À la base je crois qu’un blog est une excellente façon de s’exprimer et de partager des idées. C’est une plateforme  exceptionnelle autant pour les lecteurs que le rédacteur! J’ai également décidé de le faire dans une langue seconde simplement car mes dernières années ont été en immersion dans des milieux anglophones. J’ai donc développé un goût mais aussi un automatisme d’écrire en anglais.

J’aime prendre position de façon subtile, laisser les gens se faire une propre opinion et propre interprétation de mes propos. Je crois fortement que c’est drôlement plus grandissant d’apprendre  en se questionnant que d’essayer de copier quelque chose que l’on ne comprend pas à moitié!

Pour ceux qui me suivent déjà ce post ne sera pas quelque chose de tout nouveau!

Depuis longtemps je me passionne à aider les gens à atteindre leurs objectifs. Par l’encadrement des habitudes de vie , j’ai vite réalisé que j’avais une facilité à amener les gens à s’auto-questionner face à eux-même.

En tant que rêveur naturel et passionné de la mer, j’ai une peur incroyable d’être dans le moule de société, une peur incroyable de me sentir en cage. Nos expériences de vie, la façon d’élever nos enfants et notre capacité de sauter sans filet peut sembler incompréhensible pour les « by the book ».

Développer de nouvelles façon de faire demande d’être capable de se retirer de la situation. Oui il faut également vouloir se poser les bonnes questions, ne pas avoir peur de déplaire, d’être jugé et surtout de ne pas avoir peur d’essayer et de se compromettre.

Dans plusieurs articles je parle de notre cercle d’influence. Je considère que ce dernier est un facteur déterminant dans l’épanouissement notre vie. Combien de gens se réveillent à 45 ou 50 ans en crise d’identité? Combien d’hommes et de femmes ont décidé d’accepter une vie « sécurisante et satisfaisante » au lieu de travailler sur l’accomplissement de leurs rêves?

Est-ce que le besoin de sécurité est plus important que celui de vivre entièrement et pleinement? Je considère qu’à chaque minute de notre existence nous faisons face à des choix. Chaque petit Y décisionnel nous amène vers nos rêves ou la banalité sans se poser de question.

Est-ce que quelqu’un peut m’expliquer pourquoi trop souvent la réponse est « on n’a pas le choix? »

Eh ben… Oui nous avons tous des responsabilités. En tant que père de famille j’ai la responsabilité de mettre mes enfants dans le meilleur environnement possible. J’ai un devoir de leur laisser toutes les portes ouvertes. Est-ce que j’ai le choix de décider de la façon de faire? Oh que oui. Est-ce que je dois absolument m’installer dans le quartier derrière mes parents et les envoyer à la même garderie que j’allais quand j’étais petit? Est-ce que pour rencontrer mes obligations je dois suivre le sentier battu de mes parents? Est-ce que je dois absolument travailler du lundi au vendredi de 8@5 avec 2-3 semaines de vacances par année pour le faire? La réponse est non!!!

Personnellement j’aime cet exercice face à notre vie. Drôlement ce matin j’étais à écrire cet article dans un petit café relaxe et le proprio se questionnait à savoir s’il avait réellement besoin de tous ses biens! Inutile de dire que j’ai eu un sourire en coin ! Effectivement le temps passe, on s’enlise tranquillement dans une position qui rend les prises de décisions plus difficiles.

Nos petites actions disons « inconscientes et réconfortantes » vont trop souvent nous ramener vers ce que les autres s’attendent de nous. Ces petites actions vont agir comme pansement sur ce que l’on veut réellement. Je crois qu’une petite réflexion s’impose également sur nos habitudes de consommation. Je crois que la réflexion doit venir de : Qu’est-ce que j’ai besoin pour être réellement heureux?

Ce petit vidéo illustrant la parabole du pêcheur mexicain illustre à 100% le fond de ma pensée.

http://https://www.youtube.com/watch?v=vDFb-OwSo-4

Encore aujourd’hui, mes parents plus âgés, ne considèrent pas que d’écrire et de faire du coaching par internet est du travail! Pour eux ça prend une « vraie job », des clients physiques avec de « vraies heures »! Pour eux cette partie de mon travail les sécurisent car c’est ce qu’ils connaissent. Par chance je choisis les gens avec qui j’ai envie de travailler.

Ce petit post était une introduction / mini présentation dans le but de mettre la table pour un article futur portant sur L’auto-sabotage

Au plaisir de lire vos commentaires!

Cheers

PP Jutras

 

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